TRAVAUX D'HIVER

N'oubliez pas, cette année, un pour tous, tous pour un.
Important.

OBJET TROUVÉ

Bonjour à tous,
Lors de "la mise en boite" le dimanche 30 octobre à Montricher, du LS8 3388 nous avons trouvé un objet que son possesseur initial a du regretter d'avoir perdu et qui est à sa disposition.
Un examen attentif de l'objet collé sur la poignée d'ouverture droite du cockpit du planeur susnommé nous a permis de nous rendre compte qu'il s'agit d'un Chewing-gum usagé (gomme à mâcher, pâte à mâcher, chiclette pour ceux qui ne connaissent pas l'utilisation d'un tel objet dans un planeur) dont nous n'avons pu établir ni la marque ni le parfum spécifique exact.
Nous ne doutons pas qu'il doive faire défaut à son utilisateur qui pourra le récupérer, pour une utilisation ultérieure intensive, à son emplacement initial c'est-à-dire dans le planeur qui est remisé actuellement dans sa remorque.
Nous regrettons de ne pouvoir établir pour l'instant l'identité du malheureux distrait. Bien sur un examen ADN des traces laissées sur le dit objet est possible, on peut aussi envisager les empreintes digitales, voire les empreintes dentaires, mais une liste des derniers utilisateurs du planeur peut encore s'avérer utile afin de lui restituer l'objet s'il ne vient pas le récupérer lui-même.
Ceci nous permettrait de ne pas lui mâcher nos mots lui qui ne manque pas d'ajouter insidieusement à nos maux.
Bien cordialement à tous

PJ : photo du dit objet

Gilbert

ÉVOLUTION DEPUIS 1993 DU PRIX DE L'ESSENCE SANS PLOMB 98 (RAPPEL)

Source officielle : OFS, Office Fédéral de la Statistique

NOTRE LS4 A3 EST CHEZ DG

Nous avons amené ce jour le LS4 A3 chez DG, 900km d'autoroute aller retour, pour la réfection de son Gelcoat.

Il sera prêt pour fin septembre.
L'EURO faible, la proximité (plus de 2000 km pour moitié sans autoroute pour la Slovenie) et la date vont normalement générer un prix favorable en dessous du budget initial.

A suivre...

GRANDS VOLS POSSIBLES JUSQU'À FIN AOÛT

Les grands vols sont bel et bien possibles jusqu’à fin Août !

Christophe Leuenberger

Ce samedi 20.08.11 je descends à Montricher avec l'envie de faire un vol d'Alpes. Depuis quelques temps, ça me démanche de gratter un peu le caillou, d'autant plus que les prévisions sont globalement unanimes: bleu, bleu et encore du bleu.

Décollage donc à 11h00 avec un LS6 tout sec. Et oui le temps de ballaster la bête me parait plus long que le gain de vitesse réalisable avec de l'eau. Après quelques secondes de remorquage direction le Moléson, oh surprise un cumulus, deux et même 3/8 de Cu dans les Préalpes ! La journée s'annonce déjà belle et aux diables les prévisions :-).

Après quelques spirales aux Vanils noirs nous, Olivier Murner et moi, nous dirigeons vers le col du Hahnenmoos (entre la Lenk et Adelboden). Comme nous sommes relativement tôt il est important de basculer côté SE de la crête, là où la montagne a déjà bien chauffé. Après un plafond à plus de 3'000 m/m nous mettons le cap sur le col de la Gemmi. De là nous restons au Nord de la vallée du Lötschental sous une belle rue de cumulus. C'est ici, après un départ par le col du Sanetsch, que Konrad Kurzen (YZ) nous rejoint. C'est donc à trois que nous passons le col de la de la Lötschenlücke. Quel spectacle grandiose que de traverser le glacier d'Aletsch par la Konkordia-Platz avec la Jungfrau sur la gauche et le Finsteraarhorn jaillissant de la mer de glace tel un iceberg ! Moment inoubliable.

L'altitude nous permet de passer directement sur Munster et même la Furka. De là nous décidons de suivre les cums avec un cap sur Coire. Nous reprenons une bonne pompe avant l'Oberalp et continuons sur Disentis. Ensuite cap 45° à droite pour traverser la vallée et chercher les cumulus des Grisons, région nord du San Bernardino. Les pompes sont bonnes ainsi que les plafonds :-) De plus nous restons en formation de trois planeurs, tip top !

Ensuite cap sur le col de la Fluela, passage relativement direct pour joindre les premières crêtes de l'Autriche. En basse Engadine nous faisons un petit point bas à 2'800 m/m. Oui oui un point bas à 2'800 ! Mais avec 3.5 m/s intégré, l'altitude redevient vite confortable. Nous continuons en direction d'Innsbruck en passant au travers de Sölden, célèbre station Autrichienne où ont lieu les premières compétitions de la saison de ski.

Nous faisons demi-tour au sommet du Schrankogel à env. 20 km au sud d’Innsbruck à 14h45. Cela peut paraître relativement tôt mais les jours sont quand même nettement plus courts à présent et il faut compter avec un vent d'ouest de 15 à 20 km/h.

Retour identique à l'aller jusqu'au San Bernardino où nous décidons de passer au sud de Vals (source de l'eau minérale Valser). Ensuite nous plongeons dans le Tessin pour rejoindre la crête Biasca-Ambri, souvent bonne dès la mi-journée. Ce chemin est direct pour rejoindre le haut valais par le col du Nufenen mais les plafonds sont plus bas et les thermiques plus faibles. A environ 3'200 m/m (ce qui reste quand même haut soyons francs) nous mettons le cap sur le Nufenen en passant par le côté sud de la vallée. Les thermiques ne sont pas terribles et surtout plus à l'intérieur du Tessin. Cette région avec ces vallées très exiguës et invachables ne me plait guère à la hauteur des crêtes. Je décide donc de passer le col du Nufenen. Par chance ça ne chute pratiquement pas avant le col et je passe celui-ci confortablement. Dans le cas contraire, le local d'Ambri était assuré.

Le versant sud du haut valais fonctionne bien même en dessous des crêtes et il me paraît judicieux de faire le plein à l'est de Brig au Bättlihorn. En fin de journée le soleil tape bien dedans et il y a le vent de vallée renforcé par un bon sud Ouest. Après avoir trouvé la pompe, le vol continue à 4'000 m/m. Innsbruck – Gd-Combin 20.08.11 C. Leuenberger

Cap sur le Cervin !

A l'entrée de la vallée de Saas Fee, nous avons un bon 3.5 m/s et des plafonds de plus de 4'200 m/m. A l'entrée de la vallée de Zermatt, re belotte ! Le vent forcit et en pente devant les Michabels nous pouvons faire 4'400 m/m ! La voie jusqu'au Matterhorn est toute tracée.

Avec ces conditions, on peut même se payer le luxe de spiraler dessus !

Afin de profiter de cette belle altitude, un petit crochet par le sud du Grand-Combin marquera le deuxième point de virage.

Cerise sur le gâteau, nous profitons d'une petite ondulette devant le nuage au travers de Verbier. Les 4'100 m/m devraient être suffisants pour rentrer au bercail :-)

	On s'en est payé une bonne tranche avec Olivier et Konrad ! Le vol est visible sur l'OLC au lien suivant : www.onlinecontest.org/olc-2.0/gliding/flightinfo.html?dsId=2087479

VISITE D'UN ATELIER AEROMAINTENANCE À GRAY

Suite à des réflexion du comité du GGVVM, il a été prévu d'explorer des voies afin d'économiser le cas échéant sur les services périodiques des avions, 50 heures, 100 heures, 1000 heures, révision moteurs, etc. qui ne sont pas sans nous inquiéter.
Dans cette optique, afin d'établir un rapport pour le comité sur la possibilité de faire les services hors de Suisse, ce qui est normalement possible grâce à l'EASA qui supervise ça au niveau européen, nous sommes allé visiter un atelier en France.
Nous avons choisi pour ce faire un atelier compétent dans l'entretien de nos types d'avions, en plus spécialiste dans les différents domaines comme toilage, peinture, etc.
L'atelier visé est situé à GRAY en France (3/4 heures d'avion), JG Aviation, et nous y sommes allé en HB-PDL ce samedi comme prévu.

Première impression: très bon acceuil, atelier de très bon aspect, 8 employés, grandes compétences dans TOUS les domaines qui nous intéressent.

Deuxième impression : prix "fournitures comprises" intéressant (La prise de contact, coût unique, consiste à vérifier une première fois la conformité des pièces de l'avion). De plus, JG ne prend pas de marge sur le matériel.

Et pour information un moteur "Echange Standard" en France chez Aeromecanic c'est HT 14'590 Euros pour le Piper Cub (modèle Lycoming O-360-A3A) et environ HT 20'000 Euros pour le Pawnee (modèle Lycoming O-540-A1C5), et HT 2'500 Euros pour la MO du changement chez JG.

A suivre...

VACHE JANUS

VACHE 10.08.2011 WIMMIS SIMMENTAL

Maxime Petit-Pierre

Après un vol avec Patrick en Janus assez difficile aérologiquement parlant, je rentre dans le Simmental à 1750m en espérant y trouver de meilleures conditions. En effet, la face côté plateau est dans la peuf au Gurnigel. Il y a un champ répertorié du catalogue des vaches de « Schänis soaring » à l’entrée du Simmental entre Wimmis et Latterbach que l’on voit en entrant. Analyse : un large champ d’herbe, qui semble bon et estimé assez long pour poser.

Gratouille gratouille et je pers le local de Thun. Je fais demi-tour, car Zweissimen est trop loin et le Simmental n’est pas une vallée accueillante (très bosselée). Je me dirige donc vers la sortie de la vallée, passage au dessus du champ et le dernier relief à la sortie de la vallée ne donne rien. Ainsi, je décide de poser direct sur le champ, donc face à l’ouest. En effet, il y a une ligne électrique (style téléphone) sur le seuil ouest plus un champ de maïs (dans lequel fini cette histoire) mais qui rallongerait pas mal l’arrondi en cas d’atterrissage face à l’est.

Ainsi j’effectue un rattrapage de plan, tout AF et volets sortis au dessus de la dernière ferme avant le champ avec une dizaine de km/h de vent de dos. Dans cette configuration, le mieux aurait été de faire une approche plus en biais pour ne pas devoir prendre en compte la hauteur de la ferme dans l’arrondi, car cet exercice m’a fait perdre 100m de champ… En gros, le piqué de rattrapage de plan aurait pu être encore plus raide et surement me permettre de poser plus court.

Ceci nous amène à un touché à 90 km/h Vsol et 80km/h TAS ne laissant plus que 150m de champ pour freiner. Je le plaque au sol en lui appuyant sur le nez pour utiliser le maximum de freinage de la roue. Le problème est que le terrain présente une légère bosse qui me fait rebondir et diminue donc l’effet du freinage sur quelques dizaine de mètres. Ici, je pense que j’aurais dû passez les volets plein négatif pour plaquer définitivement la « bête » au sol. Ainsi, j’avale ce qu’il reste de champ et pénètre à 30km/h dans le maïs qui est déjà bien grand. On est alors arrêté sur une longueur de fuselage. Le choc n’était pas violent (comme la sensation d’un freinage d’urgence à 30 km/h en voiture).

Facteurs contributifs :

• Décision trop tardive de vacher
• « Trop timide » sur le rattrapage de plan
• Champ stratégique mais non reconnu à pied (bosse)
• Mauvaise utilisation des volets au sol (procédure d’urgence spécifique selon moi)
• Vitesse d’approche encore trop élevée avec le vent de dos

Finalement, un grand merci à Christophe et à Eric pour le dépannage ainsi qu’à Patrick pour son aide en équipage !

Le champ (il n’y avait qu’un champ d’herbe, pas les 3 cultures)

NB : le planeur a été convoyé pour une petite réparation, décollage bord de fuite volet droit, chez NEUKOM qui nous fera un rapport sur la réparation. On en a profité pour faire réparar le plan fixe, petit décollage du bord d'attaque à droite. Aux premières constatations, il semble que le décollage du volet ne soit pas du à la vache. À suivre...
Patrick2

NOUVEAUX ÉLÈVES

Bonne nouvelle avant cet automne nous aurons certainement 4 nouveaux élèves.
souhaitons leur bonne chance.
Bien sur on aimerait que sans avoir des plumes mais un cœur « gros comme ça » et la "Gniake" d'autres amateurs de l'état gazeux nous fassent la joie de prendre bientôt leur vol…
Gilbert

"RAMPANT" OU "VOLANT" ? TELLE EST LA QUESTION CRUCIALE

"Ses ailes de géant l'empêchent de marcher". (Baudelaire, l'albatros)

On qualifie souvent de "rampant" le personnel au sol par rapport au "noble" personnel volant.
Par bonheur cette distinction ne s'applique pas à Montricher où en principe chacun d'entre nous doit être capable de passer de l'un à l'autre sans transition.
Car qu'est-ce qu'un vélivole au sol avec son bel oiseau blanc aux ailes immenses ? Il est comme l'Albatros, un infirme…moteur, mais il serait bon qu'il ne soit pas aussi un infirme moteur cérébral !
Pour éviter cette situation catastrophique il est bon de rappeler quelques éléments trop souvent méconnus.
Nos 3 voitures de remorquage (la VW, la Ford et la Peugeot) ne sont pas de la prime jeunesse et comme telles il faut les traiter avec la délicatesse qu'il sied aux vieillards surtout en ces périodes de canicule, même si elles ne sont pas capables de réclamer quoi que ce soit par elles mêmes.
Pour ceux d'entre nous qui semblent encore l'ignorer la VW consomme probablement plus d'eau que d'essence et il est absolument nécessaire chaque matin avant de l'utiliser de vérifier qu'elle n'est pas complètement déshydratée sous peine de nous trouver rapidement dans une situation "fumante" probablement irréversible….
La Ford quoi que plus sobre n'en est pas moins une "soiffarde" à qui un bon arrosoir d'eau ne fait pas plus peur qu'à un chameau après la traversée du désert du Ténéré
Enfin la Peugeot éructe des vapeurs méphitiques bleutées qui semblent indiquer qu'elle est aussi gourmande d'huile de graissage que d'essence. Comme ses indicateurs divers restent allumés en permanence, les états d'âme de son organe locomoteur sont un mystère dont il est tout de même bon de se préoccuper de temps à autre en entrouvrant son capot moteur.
Ainsi donc si l'une ou l'autre de ces modestes besogneuses à 4 roues venaient à nous "lâcher", nous ne serions plus alors des "volants", "semblables aux princes des nuées", mais des "rampants" vulgaires limaces albinos : triste métamorphose à la Kafka.
Alors soyez charitables et donnez à boire à la VW et à la Ford selon les indications ci-dessous.
Et n'oubliez pas non plus que le moteur à eau n'existe pas encore et qu'il faut de temps à autre donner un peu d'essence à nos vieilles ancêtres. Si leurs réservoirs respectifs viennent à sec, il est extrêmement difficile ensuite de réamorcer leur pompe à injection même après leur avoir donné un peu d'essence.
Se trouver en panne en plein milieu de la piste avec un planeur en remorque n'est pas seulement humiliant, c'est surtout dangereux….

Voilà pour la VW :

et voilà pour la Ford : comme elle n'a plus de tige de retenue du capot pensez à bien le retenir si vous ne voulez pas finir comme Louis XVI.

Gilbert

PLANCHISTES "RAMENEZ VOS FRAISES"

L'épisode précédent indiquait que notre tour de contrôle mobile avait subi une réparation destinée à prolonger sa survie électrique.
Le coté un peu artisanal de la manipulation a choqué l'œil perfectionniste de Paul qui lui a apporté une nouvelle modification plus conforme aux canons de l'électricité automobile par la pose d'un véritable interrupteur en principe impossible à égarer et dont vous trouverez la photo ci-dessous.
Attention toutefois, cet interrupteur qui n'a rien d'un "Tazer" est en porte à faux.
Il est donc indispensable lors de sa manipulation de le soutenir pour éviter de provoquer rapidement une rupture des fils de contact. Il n'y a aucun risque, ce n'est pas du haut voltage mais un maigre 12 volts que vous pouvez ressentir au bout des doigts sans risquer le grand frisson.
Au moment de mettre en position "on" la clé de batterie désormais accrochée à un fil à l'arrière du véhicule, car elle avait tendance à jouer les filles de l'air, baissez les yeux et vous aurez une récompense pour prix de votre dévotion au dieu de la comptabilité aéronautique.
Mais oui vous ne rêvez pas : des fraises de bois qui ne demandent qu'à être ramassées et dégustées, prolifèrent juste derrière les roues arrières du véhicule.
Une façon plaisante de commencer une journée qui ne prendra plus alors l'allure d'un pensum, mais le commencement d'un festin digne de Lucullus (bon, ça c'est pour dorer la pilule) !
Gilbert

JÉRÉMY HELD LACHÉ SEUL !

Jérémy Held a été laché seul ce jourd'hui par Barbara KUTTEL !
BRAVO ENCORE !

BUS VW : CHRONIQUE MECANIQUE DE GILBERT

Le temps vole (heureusement qu'il n'y a pas que lui) et entraîne des modifications (le mot « vieillissement » est si pessimiste) inéluctables des choses et des gens.
Notre Président et quelques autres membres s'attachent pourtant avec une habileté certaine et pas mal de succès à prévenir voire guérir "des ans l'irréparable outrage" qu'il s'agisse des objets volants ou "rampants"…
Les planchistes de service n'ont pas manqué de remarquer que notre tour de contrôle mobile n'avait plus sa fraîcheur d'origine et après avoir perdu sa vélocité initiale elle ne roulait plus que sur une vitesse, tout retour en arrière lui étant désormais interdit.
Il y a pire, puisque trop sollicitée par notre groupe, sa clé de contact s'est rompue risquant de la confiner sous son abri jusqu'à sa mise à la ferraille,
C'était sans compter sur l'astuce de Jacob qui a d'abord réussi à court circuiter le contact de démarrage permettant de la remettre en service sans toutefois recharger la batterie qui n'a pas manqué de se trouver à plat après quelques journées.
Une nouvelle intervention de Jacob et de Patrick a permis de remettre en état une partie des circuits contrôlés par feue la clé de contact, et en particulier la charge de la batterie, délivrant ainsi de tout soucis les futurs planchistes.
Je livre ici le résultat de leurs efforts dignes de l'ère de l'électronique à condition que les utilisateurs suivent bien le mode d'emploi indiqué ci-dessous.

PROCÉDURE :
Après avoir mis la batterie en service par sa clé située dans le coffre, comme auparavant, décrocher la "pince clé de contact" fixée sur le levier d'essuie glace.
Mettre le contact en rejoignant le 2 barrettes avec la pince, appuyer sur le bouton de démarrage et…..ça démarre !!

Aux dernières nouvelles, cette remise en service n'a pas échappé à l'œil affûté de Paul qui lui a apporté une petite modification plus conventionnelle dont on vous livrera les détails dans la prochaine édition et ce pour l'édification des futurs esclaves de la planche.

CHAMPIONNAT SUISSE 2011 JUNIORS

Site officiel AOC garanti sans français : www.jsm2011.ch

Quelques images...

Photos CSJ 2011 by Patrick Mégard, dépanneur ;-)

jeudi 09 juin

Briefing d'entrée à 20h00, laché seuls à 21h30, rien d'organisé pour manger, innatendu et dommage.

vendredi 10 juin

Tâche du premier jour avec des conditions acceptables, mais Maxime, à cause des conditions favorables aux classes CLUB à cause du coeff. (LS8 coeff. 108) a un peu regretté de ne pas être parti avec un bon vieux ASW19 (coeff. 100).
Tous les planeurs sont rentrés après 2 heures e vol et comme la tâche AAT était de 2h30, ça a fait chuté les moyenes réelles et Maxime a terminé 16ème...
Juste pour info, en annulant l'effet des 2h30, ça le met Maxime en position 3 avec 108.7Km/h de moyenne.
Rien d'organisé pour manger le soir; on est parti manger dans un restaurant italien des alentours.

samedi 11 juin

Très mauvaise météo, et après changement de 3 tâches, départ à 18h00 pour une petite épreuve très technique !
Maxime est un des rares participants qui sont revenus, lui "très tard", mais il avait un SPOT et on pouvait le suivre sans inquiétude.
Il n'a pas pu faire le dernier point, il lui manquait quelques mètres sous la quille, mais il termine 3ème derrière les champions français...
Là il n'a pas regretté le LS8...
Tien ! Ce soir une fondue chinoise à gogo (à un prix abordable) a été organisée au restaurant de l'aérodrome... bien...

dimanche 12 juin

Très bonne météo ce dimanche.

Maxime regrette à nouveau l'index, mais il fait une très bonne course malgré un point bas juste avant l'arrivée dans le grand cercle AAT au NE.
Il est même devant certains très expérimentés :-)
Rien d'organisé pour manger le soir et cuisine fremée à l'aérodrome à 21h15, soit juste après l'apéro avec les concurrents français. On est parti manger avec Maxime à l'extérieur...
En plus on venait de nous signaler que rien ne serait organisé comme repas, ni demain ni mardi pour la fête finale :-(
Bizarre de ne pas entourer et regrouper les jeunes afin de renforcer l'esprit de groupe...
Cet après midi il semble que Rolland Burgermeister soit venu vacher ici sans nous faire un petit coucou ? Dommage...

lundi 13 juin

METEO SUISSE SOMMÉ D'ÈTRE GRATUIT DES 2014

Une des meilleure nouvelle depuis longtemps

Pour une fois "en Suisse" on fait passer la sécurité avant le fric !

Extrait du communiqué passé dans le journal LE TEMPS

Source ici

MétéoSuisse au défi de trouver de nouveaux revenus Etienne Dubuis L’Office fédéral devra livrer ses données brutes gratuitement dès 2014. Parviendra-t-il à compenser ce manque à gagner? L’Office fédéral de météorologie et de climatologie, connu sous le nom de MétéoSuisse, est en plein chamboulement. Sous l’impulsion du Conseil fédéral, il a été invité à distribuer gratuitement d’ici à 2014 les données brutes qu’il a en partie vendues jusqu’ici. A lui de combler le manque à gagner ainsi créé en développant de nouveaux services susceptibles d’intéresser le consommateur. Tout juste entré en fonction pour mener à bien cette réforme, son directeur, Christian Plüss, est venu s’en expliquer à Genève en marge du congrès de l’Organisation météorologique mondiale, en mai. Une forte pression est exercée dans le sens d’une réduction des prix et, dans la mesure du possible, de la gratuité. Elle a une dimension économique, le milieu de l’aviation, grand consommateur d’informations météorologiques, exigeant des tarifs plus bas et jouant de la concurrence pour parvenir à ses fins. Elle en possède une autre de nature idéologique, les prévisions du temps étant sujets au grand vent de libéralisation qui souffle depuis de longues années sur le monde. (...) «Nous prenons acte de ces déclarations d’intention mais nous attendons de voir comment elles se traduiront dans la réalité, commente Frédéric Glassey, directeur adjoint de la société privée MétéoNews. Quoi qu’il arrive, une vaste redistribution des cartes est en cours. MétéoSuisse n’est plus seul, par exemple, à posséder des stations de mesure. Nous en avons acquis nous-mêmes un certain nombre. La Confédération a renoncé à couvrir tous les besoins en la matière, notamment dans la région des Alpes où les microclimats sont nombreux.» (...) Un dernier problème est que les consommateurs trouvent désormais des prévisions météorologiques gratuites sur Internet. Le défi sera par conséquent de livrer des informations d’une qualité suffisamment meilleure pour faire la différence. La concurrence, décidément, s’infiltre partout.

RO..AND BURGERMEISTER NOUS CONTE SON AVENTURE DE MARDI

Mardi 24 mai. Après une heure et demi d’un petit vol sans histoire, dans la région de Balsthal, 12h 45..

Pô mon jour me dis-je en finissant mon casse croûte, cheminant vers la ferme voisine pour m’acquitter de la taxe d’atterrissage. Une robuste fermière Soleuroise m’accueille jovialement. Tout en tendant une oreille attentive ( Rolland en LIVE sur Radio-Vache) à ma laborieuse explication (nicht einfach !), elle me prépare spontanément “ein klein kafé” (environ 3.5 décilitre). Après quoi, remplaçant facilement le tracteur que j’imaginais indispensable, elle m’aide à sortir le VI du champ dont la terre était un peu meuble.

Ensuite ?

Ben.. comme d’habitude. Les gendarmes ont monté la garde près du planeur..

Pendant que je réquisitionnais leur voiture pour aller voler une remorque LS6

Comment ça c’est pas vrai ? Bon d’accord, mais c’est uniquement parce que les voitures de polices là-bas, elles ont même pas de crochet !!

Finalement, un grand merci:
- A Hugo qui est venu me chercher
- A benjamin et Sébastien pour le support
- Aux copains qui m’ont attendu pour aller croquer
- A la fermière
- Aux flics
....

Pas belle la vie ?

BENJAMIN NOUS CONTE SON AVENTURE DE DIMANCHE

Petit compte rendu de Benjamin sur sa première traversée du plateau !

Bonjour les amis,

Pas grand choses peut-être pour les grands rapaces mais pour moi OUI.

Dimanche après une longue soupe aux spaghettis sur le Jura, vers 14h00, j’ai décidé de partir faire un exercice de finesse vers Lausanne en LS4 …

Et alors dès que j’aperçu Lausanne je me suis dit que Le Moléson n’était pas si loin. Le plaisir était énorme de me trouver aux portes des Alpes lloll mais … je me suis dit : « mon vrai test serait de rentrer en finesse 25 à la maison !!» … le problème était plutôt le cheminement de retour avec des bases basses et de la pluie !!??
mais bon, arrivé au travers de Romanel à 1550m je me suis dit que j’avais besoin de 50 – 70m pour arriver puis GO……..
….. très longue route en solo, difficile à expliquer …
puis j’ai écouté la radio 133.20, puis enfin Pampigny 1100m et « elle et belle »

À bientôt,
Benjamin

CR DE GRUYÈRES : MAXIME ET CHRISTOPHE RACONTENT

CR Gruyère 2011

Le 28 Avril 2011 a eu lieu le Championnat Romand de Gruyère. C'est 12 concurrents qui se sont disputés le titre de champion romand.

Jeudi 28 avril:

Briefing, une goutte froide est stationnaire sur l'Europe et ce durant toute la durée de la compétition. Ce qui signifie une météo difficilement prévisible. En gros, ciel dégagé le matin tournant en averses, voir orages sur les reliefs dès la mi-journée. Météo identique jusqu'au samedi. Les épreuves de chacun des jours seront des AAT permettant des options alpes ou plaine.

L'épreuve est Gruyère - Thun - Châtel-st-Denis - Ecuvillens - Grandvillard AAT, 2h00.

Les pilotes de Montricher dixit " les marmottes du Jura ", sont au départ avec le Janus pour Christophe et François F. , le DuoDiscusX avec Sébastien et François, Jean-Jean en Nimbus 4DM avec Alain Girardet de Bex et Maxime en LS-8 le seul standard du championnat.

Après le décollage, on remarque déjà la dégradation du temps. Seuls les Rossier parviennent à se lancer dans le Simmental, les autres tentent de rester en l'air sur la plaine. Je tourne au sud de Berne face à un fort vent de NE, puis La Verrerie et je me retrouve bas au pied du Gibloux après avoir traversé la pluie. L'eau est vidée (des ballasts) et je tente un retour en finesse sur Grandvillard. Trop bas sur le plan, sous une pluie battante, je rate le point pour….450m ce qui me vaudra 50 point de pénalité, mais un circuit bouclé tout e de même ! Finale mouillée à 180km/h sous le château de Gruyère. En résumé, un vol techniquement très intéressant ou les altitudes de vols se situaient dans les 1400-1500m entre les averses. Heureux d'avoir tourné même à 52 de moyenne ! Je fais 7ème, Christophe et FF 3ème, Seb et François 10ème.

Vendredi 29 avril:

Météo identique, épreuve adaptée, nous sommes déjà contents de pouvoir faire deux jours de vol.

L'épreuve est Villardvolard - Les Paccots - Baumberg - Moudon - Grandvillard AAT, 1h45.

Les cums sur la plaine semblent prometteurs. Je passe la ligne avec Christophe et Seb dès son ouverture et on fonce en direction de Vaulruz. Une belle rue à 1500m se profile vers le Mt Pèlerin. Nous avançons jusque là pour faire demi-tour en direction de Fribourg. Le cheminement devient plus difficile vers le Gibloux, je perds pas mal d'altitude et j'avance sur la pointe des pieds. Le plein est fait en tangentant la zone de 25km de Baumberg vers Guggisberg. Je fais demi-tour en direction de Romont. Là ça chemine de nouveau correctement et je ne tarde pas à faire mon dernier plafond. L'ennui est que, comme d'habitude, il pleut en Gruyère. Je calcul donc finesse 25 de Grandvillard. Ok ça devrait passer, au cap je traverse pluie, neige et tonnerre. Je tourne le point et termine le circuit en 1h48 avec un atterrissage où l'eau coule encore des ballasts une fois posé. Il vaut mieux garder l'eau pour assurer sa longue finale avec une polaire dégradée par la pluie et le vent de face. Christophe avec le Janus et ses très mauvaises conditions de vol sous la pluie se retrouve aux vaches vers Vaulruz. Un vol qui confirme qu'un standard à ses chances face à des 18m et des Open ! Je fais 3ème, Christophe et FF 8ème, Seb et François 10ème.

Samedi 30 avril:

La météo à l'air plus clémente sur les alpes. Ce qui sera effectivement le cas pour les 3 qui réussiront à passer le Jaun…

L'épreuve est Gruyère - Schaugnau - Hongrin - Fribourg - Grandvillard AAT, 2h15.

L'épreuve commence bien, dès la fin du remorquage je fonce vers la Dente vert. Après de la gratouille et des chamois qui courent au bout de mon " Winglet " à la pente, je fais 2300m. La ligne n'ouvre malheureusement pas tout de suite. Je veux prospecter vers Saanen. Malheureusement, les pentes ne donnent plus rien pour moi après les Gastlosen. Je me retrouve à faire le tour par Château-D'Oex et retour à la case départ à Gruyère à 1200m où la plupart des concurrents sont bloqués. Après quelques essais, je me retrouve au pied de la Berra sous l'eau dans - 3m. Fort de cette information, Christophe et François parviennent à mener leur Janus sur la plaine et sont les seuls à tourner le circuit sur la plaine en tangentant les cercles. Un bel exploit quand les autres grands aigles ont pu tourner dans les alpes. Il mérite sa 3ème place. Pour moi, c'est fini après 12km parcourus, je fini 6ème et Seb 8ème. Seuls 4 pilotes ont tourné…

Dimanche 01 mai:

La météo semble enfin nous offrir une fenêtre plus large.

Pluie et soleil ... normal !

L'épreuve est Charmey - Schilthoren - Les Paccots - Gurnigel - Grandvillard AAT, 2h00.

Après le largage, je peux faire 22 au Bifé, ce qui me permet de raccrocher les Vanils vers 2700m. Un peu de prospection, les conditions semblent bonnes avec des averses isolées sur le parcours. Christophe et François me rejoignent et nous passons la ligne peut après son ouverture. Direction le Niesen, en passant au sud du Simmental. Ca chemine bien et le plein est refait au Niesen. Ce qui me permet de tirer encore un peu vers le Morgenberghorn. Demi-tour, ce sera plus difficile de raccrocher la crête dans le Simmental. Le plafond refait après 10minutes perdues, ça chemine jusqu'à Saanen. Direct les Paccots pour tangenter le cercle de 10km. Cap à l'Est sur les Vanils et le dernier plafond est fait au Jaun à 2700m. C'est après le lac Noir, au kilomètre 8 du Gurnigel, que je mets le cap sur Grandvillard, bien au dessus du plan, 200km/h et 10 minutes restantes. Au font du cercle de Grandvillard, la longue finale est engagée pour passer la ligne après 1h59' 16'' ! Ce qui me vaudra une 4ème place derrière Christophe en 1ère position, un 18m et un Duo du coin !

En résumé, un RAL très intéressant techniquement, qui a montré l'importance de bien connaître sa machine.

Merci à Pierre-Alain DESMEULES et à toute l'équipe de Gruyère de nous avoir créé des épreuves adaptées et de supers repas !

Maxime Petitpierre

Salut à tous

Comme nous avons décidé de faire part de nos expériences vélivoles (bonnes ou mauvaises), je me dois de vous décrire une vache un peu dure lors du CR de Gruyère il y a deux semaines. Sauf erreur, Maxime a déjà écrit un compte rendu sur l'ensemble du concours. De plus vous trouverez des photos du concours sur le lien suivant:

www.aerodrome-gruyere.ch/photos/thumbnails.php?album=79

Et voici pour la vache:

En fin de vol, les conditions sont devenues pluvieuses et il ne restait plus beaucoup d'endroit sans pluie. Alors que nous (FF et moi dans le Janus) avions l'altitude nécessaire pour tourner le dernier point de virage et poser à Gruyère, je décidai de mettre le cap direct sur ce dernier point. Ce choix impliquait que nous passions dans la pluie. Alors que François préfèrait controurner cette zone par l'ouest où le ciel était plus clair.
Après quelques minutes nous volons dans la pluie avec une finesse terriblement diminuée (le Janus plus qu'un autre planeur déteste la pluie).
Nous avons rapidement perdu le plan de rentrée et je décidai de virer plein ouest où il n'y avait plus de pluie. De plus un planeur spiralait plus haut.
Malheureusement nous arrivons un peu tard dans ce faible thermique et avec les ailes mouillées avons aucune chance de monter.
La pluie refait son apparition et l'altitude diminue.
Nous trouvons un champ et quelques spirales plus tard sommes en finale.
L'herbe est finalement assez haute dans ce champ et il n'est pas vraiment plat (grosse montée au milieu).
Nous arrivons assez vite dans l'herbe et la montée nous fait toucher l'aile gauche.
Ca se termine en glissade arrière (dérapage incontrôlé) avec une trappe de train fendue.
Pas de blessure mais c'était assez impressionnant.

Malgré mes nombreuses vaches par le passé, je dois admettre quelques erreurs de jugement :

1. choix du champ tardif.
2. dans la précipitation et les mauvaises conditions météo, mauvaise évaluation de vent.
3. atterrissage certainement avec du vent de dos => survitesse à l'arrondi.
4. choix d'un champ en herbe plutôt qu'en terre.

A+
Christophe Leuenberger

CR1 GRUYÈRES, UN PODIUM GENEVOIS

Cette année, au CR1, 3 participants :
- Christophe LEUENBERGER et François FILLIETTAZ avec le Janus
- Maxime PETIT-PIERRE avec le LS8 JG en 15m (Standard)

Après 4 jours et 4 tâches entre les gouttes, Christophe et François terminent "PODIUM"
malgré une vache (sans dégat à part un peu une trappe) avec une belle 3ème place juste
derrière les 2 "R" intouchables..

Maxime pour sa première participation à un CR termine 7ème.

Les résultats finaux

Encore bravo aux 3 GGVVM'istes.

CAMP DE PÂQUES ET NOUVEAU LICENCIÉ

Très bon camp de Pâques du lundi au vendredi.

Comme chaque année depuis un certain temps, Marie-Ange et Günter VOEGTLE ont animé le camp toute la semaine.

Participants : José COCHO, Jérémy HELD, J.-P. CLOTTU du GVVVM, et des fascinations.

Les deux animateurs vers le Pawnee...

Et en fin de semaine, José COCHO à passé son examen, réussi en 2 vols, y compris un "zut alors".
BRAVO JOSÉ !

José et son maître juste avant l'examen.

Prêt à monter dans la machine école avec un passager indispensable à la mission.

C'est parti pour les 2 tours avec l'examinateur OFAC.

Il a réussi notre José, le bouquet de fleur traditionnel le confirme.

Remerciement et fête aux 2 Maîtres de la semaine.

Et l'aventure continue: José vient de demander à être très actif tout de suite...

Encore bravo.

OUDIE DE NAVITER / SEEYOU

Pour tous ceux qui cherchent une solution de moving map en vol, la vraie solution prix/performance est enfin là.

Le OUDIE

Après les essais avec Robert Genoud, il s'avère que la connectique RJ45 est
100% compatible avec la connectique GGVVM.
Et sans aucune adaptation, la RJ45 de la connectique livrée est prête à être enfoncée avec délectation dans le tableau de bord des planeurs GGVVM et un ou deux GVVVM.
Et miracle, alimentation et NMEA communiquent alors en totale harmonie...
Pour une fois un miracle sympa sans l'ombre d'un fer à souder.

Dans le paquet cadeau on a : Oudie Chargeur 12V Chargeur auto Chargeur mural Ventouse Support Câble et convertisseurs RJ45 COMPATIBLE GGVVM Câble RJ12 CD d'installation Manuel d'utilisation

Pour acheter, ici : http://www.naviter.si

JOINT VERRIÈRE AVANT DU DG1001s

On a changé pour la 3ème fois le joint de la verrière avant du DG1001s et cette fois "bingo".
En effet, DG avaient bricolé du tuyau plastique transparent comme joint et il était impossible de fermer la verrière d'avant.
En utilisant un tuyau plus fin (comme le normal de la verrière arrière) la verrière pouvait se fermer mais les fuites d'air étaient phoniquement insupportables.
On pense que initialement DG s'en sont aperçu et ont alors bricolé en mettant en lieu et place le tuyau plastique dur qui bloquait la verrière.
En étudiant les produit de calfeutrage professionnels avec Patrick1, on a trouvé du joint mousse molle de calfeutrage TESA que l'on a collé avec du Collano A1970.
Maintenant tout semble en ordre, plus de bruit du tout et la verrière est " fermable ". Quand même faire attention lors de hautes températures : laisser un moment la verrière ouverte pour la ventiler avant de fermer.

UPDATES FLARM EN VEUX TU EN VOILÀ...

Depuis la journée parc ou l'on a installé la version 5.00 du 25 février 2011 dans les aéronefs,
FLARM a proposé 3 nouveaux UPDATES ce dernier mois !

	
 5.03 2011/04/01 
----------------
This update is only significant for:
  - required for IGC-file related users only (incl. OLC)

FIX: IGC task declaration with waypoints in W or S
FIX: IGC file G-record, under some circumstances not appended to file
     (v5.03 downloads flights made in previous versions correctly)


 5.02 2011/03/17 
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This update is only significant for:
  - required for F4 units (most of the are in Switzerland)
  - strongly recommended for tow-planes
  - strongly recommended for all user

FIX: s/w build for legacy F4 units from 2004
FIX: robustness of glider-towing detection
FIX: uploading configuration files using FlarmTool


 5.01 2011/03/11 
----------------
This update is only significant for:
  - strongly recommended for all user
  - required for IGC-calibration and IGC task declaration

FIX: alarm sensitivity re-calibration (v5.00 was very sensitive, especially in thermalling with others)
FIX: barographic calibration + task declaration fix (IGC only)
FIX: Butterfly display connected on extension port fix


 5.00 2011/02/22 
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This update is only significant for:
  - mandatory all user
  
Public major release for all FLARM units (incl. IGC and ENL versions),
and for all compatible designs (LX, LXNAV, Ediatec, Triadis, Garrecht, Flytec, Ediatec and Swift/RF-Developments).
In case you update from a beta-Version 4.9x using FlarmTool, use the Recover-function in the Flarm-menu, and follow instructions.
The 5.00 is *not* fully radio compatible with previous versions.
Totally new Flarm engine embedded.
Handles SD-cards of all memory sizes.
It is operational till end of Febuary 2015 and must be replaced with release 6.00 then.
	

Je pense qu'il est urgent d'attendre, mais entretemps il faut comme d'habitude faire attention aux voleurs du dehors...

Ou suivre un Sage comme me l'a suggéré Olivier Plaut :

Si tu dois changer de version, attends la version suivante... [Confucius]

Remarque personnelle :

PLUS BESOIN DE LICENCE ÉLÈVE DEPUIS LE PREMIER AVRIL

Les élèves peuvent voler dans le cadre de l'instruction sans aucune formalité OFAC depuis le 1er avril 2011.

cf. annonce du 25 février 2011 : Annonce OFAC

PREMIER JOUR 2011, LE MONTAGE

Belle journée au soleil pour le montage malgré la bise.

Le repas était préparé comme à chaque ouverture par nos cousins du GVVVM.

Et cette année, des cigognes partout pour ce début de saison...

Les images de Gilbert.

J1 de 2011 by Gilbert BENZONANA

PLUS DE CARTE ÉLÈVE !

Très bonne nouvelle, la carte élève est abolie !

Les élèves peuvent voler dans le cadre de l'instruction sans aucune formalité depuis le 1er avril 2011.

Pour les détaile, cliquez sur le pdf... Abolition de la carte élève

STAGE AU CNVV 2011

le compte rendu de Maxime pour le site de l'équipe suisse junior.

C'est avec une certaine impatience que les pilotes de vol à voile attendent le retour des beaux jours pour pouvoir exploiter l'énergie naturelle que nous envoient soleil et vent. Cette année mon impatience s'est arrêtée le 14 février. C'est ainsi que j'ai pris la route du centre national de vol à voile de St. Auban dans les Alpes de Haute Provence. Les conditions peuvent y être bonnes si tôt dans l'année, particulièrement pour l'onde étant donnée la faible instabilité. L'idée d'un stage au CNVV est de renforcer ses acquis et d'approfondir sa technique du vol d'Alpes avec les meilleurs instructeurs de France qui, pour beaucoup, concourent au niveau international.

Le déroulement d'une journée " type " est : briefing météo, briefing technique et théorique, préparation des machines et enfin le vol. La météo est justement un point important en février et particulièrement sur la semaine que j'ai passée. St. Auban en hiver, c'est un coup de poker, ça peut être bon comme moins bon. Bref, 3 jours de vol sur 6 pour cette semaine là. L'occasion de voler dans des conditions pas évidentes ce qui, techniquement, apporte beaucoup.

Le lundi 14, nous avons pu décoller vers 14h30 locales sous la pluie avec une brise de sud. Ce fut l'occasion d'exploiter des ascendances dynamiques et même ondulatoires avec un plafond OVC à 2000m. La visibilité horizontale n'est pas terrible, ce qui force à être très concentré pour l'anticollision. Un planeur en vol horizontal sur fond de nuage est quasiment impossible à voir… C'est également l'occasion d'entrainer le calcul de local, d'estimer les distance, de trouver des dégagements posables en cas de forte descendance et tout ça sans GPS afin de nous " remettre au carré " comme le disent les instructeurs ! Bref un vol avec un instructeur du CNVV est très formatif et épuisant pour le pilote ayant peu d'expérience comme pour le pilote chevronné. Finalement, ce sont mes défauts principaux qui seront discutés lors du débriefing. Cette journée m'aura apporté beaucoup quand au vol d'onde et m'aura permis de voler le DuoDiscus !

Deuxième jour de vol vendredi, c'est la meilleure journée. Alors là, l'éclate totale, on est le 18 février, il y a un petit mistral et des thermiques ! C'est parti sur la " Tôle ondulée " où l'on accroche à la pente, direction le rocher d'Authon. Nicolas (mon instructeur) veut me montrer " la sortie par les pentes " pour aller accrocher la Lure qui est une zone très propice à l'onde par vent nord. C'est un enchaînement de vol de pente et thermique qui nous amène à accrocher une onde +6 bloqué jusqu'à 2900m, direction le pic de Bure. Durant tout le cheminement, c'est du calcul mental, de la recherche de dégagement, de l'observation etc. afin de me faire travailler le plus possible tout en assurant un vol performant, j'adore ! Enfin, c'est 250km en 3h50 qui sont parcourus jusqu'aux Trois Evêchés. Finalement au kilomètre 40 de St. Auban, Nicolas m'apprend à optimiser mon arrivée. On fini à la verticale de l'aérodrome 10 minutes plus tard à 215km/h ! Débriefing et " Inch Allah " pour le samedi.

C'est ce samedi qu'on m'annonce que j'aurai le LS-8 Echo Uniform, une machine fraîchement transitée pour moi. La météo n'annonce pas de vent et de faibles thermiques bleus. Un défi pour la première journée solo dans les Alpes du sud ! Alors là c'est génial, le vol solo permet d'appliquer seul tous les conseils que la petite voix derrière nous a répété durant les autres vols. Effectivement, je me sens techniquement plus à l'aise. Cette journée est vraiment technique. Après m'être trainé sur la pente de la Vaumuse, je me rattrape à 1000m dans 10cm intégrés ! Et quel soulagement après 30 minutes de spirales à 10cm, de prendre son premier 1m/s ! Et là je peux enfin me promener en direction de l'est : La Bigue, le Cousson et la vallée de la Bléone. Malheureusement un voile s'approche de l'ouest, il ne faut pas trop s'éloigner pour ne pas finir à Marcoux ! Je ne tarde pas à rentrer lorsque l'ensoleillement se coupe. J'applique la technique d'arrivée rapide et c'est à 210km/h que je passe le seuil de la SW !

En résumé, une belle leçon de vol à voile sous tous ses aspects. En 3 jours, j'aurais exploité tous les modes d'ascendance, volé près de 10h et découvert une région magnifique.

Enfin, on peu dire que la patience est une vertu qu'il est nécessaire d'avoir afin de ne pas se démoraliser après 3 jours de pluie ! Un stage à St. Auban est un moyen de reconnaitre et d'éliminer les mauvaises habitudes que l'on prend à voler en monoplace, ainsi qu'un apprentissage nécessaire au bon pilote de montagne. Finalement, pour l'ambitieux LSTR'ien, il permet de connaître un point de chute agréable en cas de vol en direction du sud !

Maxime Petitpierre
Espoir, équipe suisse de vol à voile

MEILLEURS VOEUX POUR 2011 ...

Avec quelques conseils :

- Réviser le manuel et le simulateur PC SeeYou Mobile www.naviter.si

- Réviser le manuel et le simulateur PC LX 8000 lxnav.com

- Repos... bico.ch

- etc.

Et vivement le 5 mars...